Games Workshop Limited 1999

Régiments   Orques Chevaucheur Orque Sauvage   Lancier Chevaucheur de Sanglier       Seigneur de guerre Orque La puanteur de viande pourrie et Chantonne le vomissement était celui auquel Azhag Le Massacreur s'était habitué, mais l'odeur d'un Chaos Chantonne était différent. Azhag fut l'un des plus dangereux chefs de guerre de ces dernières années, et ses campagnes de destruction à travers l'Empire ont mis à genoux toutes les provinces de l'est. Après avoir battu toutes les tribus orques et gobelines des Montagnes du Bout du Monde, il conduisit sa horde dans l'Ostermark et détruisît plusieurs cités et notamment le temple de Sigmar à Nachdorf. Azhag possédait une étrange couronne de fer qui lui semblait lui donner des pouvoirs magiques. Après sa défaite finale par une importante armée de l'Empire, cette couronne fut emportée par le Grand Théogoniste de Sigmar qui l'enferma à jamais. Azhag était toujours monté au combat sur une imposante vouivre, chargeant souvent ses ennemis en fuite.

Seigneur de guerre Orque Grotfang, le seigneur de guerre Orque doit être particulièrement féroce et résistant, ou leurs propres soldats tenteraient de prendre sa place. Les Trolls méritent déjà plus le détour, car ils sont bon en combat et difficiles à tuer grâce à leur faculté de régénérer leur points de vie perdus. Avec un chef à leur tête pour éviter la stupidité ils peuvent s'avérer redoutables en corps à corps, encore faut il qu'ils y arrivent suffisement vite. Et puis pour le prix d'un Troll on a plein de.... Les orques n'ont pas de plus fidèles alliés que les géants. Ces deux espèces partagent la même vision du monde: la guerre, toujours la guerre. Les orques peuvent combattre aux côtés de n'importe quelle autre race, mis à part les nains qui leur vouent une haine farouche et séculaire. J'ai déjà pu recueillir de nombreux récits de batailles où les orques s'étaient alliés aux forces impies du Chaos, mais aussi aux mystérieux elfes et autres hommes-rats...

Mon principal plaisir de Warhammer battle c'est la peinture.
Peindre une armée se n'est pas uniquement peindre des figurines, c'est peindre un ensemble, une entité avec une âme, une identité. Exprimer par la peinture la puissance et l'essence de l'armée qui va sur le champ de bataille. Peut importe pratiquement la qualité de chaque figurine, bien sur mieux c'est réalisé mieux c'est, mais l'important c'est l'impression d'ensemble dégagée par l'armée sur le champ de bataille.

Le Dry brush

Le Dry brush ou brossage à sec est utilisé pour éclaircir la figurine. Il est particulièrement utile pour les cottes de mailles, les fourrures ou les cheveux.
Il est effectué avec un pinceau assez large et avec une couleur plus claire que la couleur déjà appliquée.
Le pinceau doit être pratiquement sec. Pour vérifier s'il est suffisamment sec je le passe sur mon ongle et s'il n'y a presque plus de couleur c'est qu'il est bon.
Il suffit de brosser la zone à éclaircir d'un mouvement rapide et le reste de peinture se déposera sur le haut des parties brossées.

Le Lavis

A l'inverse du brossage à sec le lavis nécessite une peinture très diluée. Il sert à assombrir les creux ou a souligné un détail. L'utilisation d'encre peut être très utile pour un bon rendu. Une fois la peinture rendue bien liquide soit avec de l'encre soit avec de l'eau. Il suffit de passer sur les zones creuses à assombrir. C'est une technique plus difficile à réaliser que le brossage à sec mais une fois maîtrisée on ne peut plus s'en passer.